La Vuelta, qui s’achève ce dimanche 14 septembre à Madrid, a été pendant trois semaines le théâtre de manifestations quasi quotidiennes liées au conflit israélo-palestinien.
La police a chargé des manifestants qui avaient envahi le parcours de la dernière étape du Tour d’Espagne, en plein centre de Madrid, tirant également dans leur direction des grenades lacrymogènes, ont constaté des journalistes de l’AFP ce dimanche 14 septembre.
ud83dudeb4u2642ufe0f ud83cuddf5ud83cuddf8 La Vuelta ha vivido dos jornadas inolvidables: en la Comunidad de Madrid, banderas, pancartas, acciones y cortes de ruta en protesta por el genocidio en Palestina
Orgullo colectivo
¡Que viva la lucha del pueblo palestino!#StopGenocideInGaza #FreePalestine pic.twitter.com/qyH81y0rSH— IU Madridud83dudd3b (@IU_Madrid) September 14, 2025
Sur plusieurs points du parcours prévu de l’étape, notamment à Gran Via, en plein cœur touristique de la ville, ou près de la gare d’Atocha, des manifestants propalestiniens ont fait tomber en fin d’après-midi les barrières installées pour circuler sur les avenues où les cyclistes devaient passer plus tard.
Les coureurs mettent pied à terre, la dernière étape neutralisée
Face à cette situation, les coureurs ont mis pied à terre à 56 kilomètres de l’arrivée. “Le peloton est stoppé à 56 kilomètres de l’arrivée en raison de manifestations en cours à Madrid”, a annoncé la radio de la Vuelta.
Plus d’informations à suivre…