Titré sur 200 mètres 4 nages ce 31 juillet, Léon Marchand n’a pas prévu de s’arrêter en si bon chemin et pourrait, selon les résultats des relais, être aligné dans encore 3 courses différentes d’ici la fin des Mondiaux de natation.
Le phénomène n’en a pas fini. Après avoir remporté le 200 mètres 4 nages ce 31 juillet, le tout alors qu’il avait battu le record du monde en la matière la veille, Léon Marchand n’est pas rassasié dans ces Mondiaux de Singapour. Comme il l’a confié au micro de France TV après avoir reçu sa médaille d’or des mains de Tony Parker, les Mondiaux ne sont pas finis pour lui : “Il me reste pas mal de choses, je suis content. Je vais essayer de récupérer au maximum et d’être prêt pour la suite.”
ud83cudfca #AQUASingapore25 | ud83dude05 “C’est trop classe. Je l’ai vu dans la chambre je me suis dit : ‘Mais qu’est-ce qu’il fout là ?'”
ud83dudde3ufe0f La réaction de Léon Marchand qui vient de voir Tony Parker lui remettre sa médaille d’or. pic.twitter.com/bTNDqINL5H
— francetvsport (@francetvsport) July 31, 2025
Titré pour la 6e fois aux Mondiaux, la 3e fois sur le 200 mètres 4 nages, Léon Marchand pourrait encore s’aligner sur 3 courses différentes dans ces championnats du monde. Le Toulousain a évidemment prévu de nager le 400 mètres 4 nages, dont les séries sont prévues le 3 août. Léon Marchand tentera de remporter pour son 3e titre dans cette catégorie, histoire d’étoffer encore un peu plus son palmarès. Pour ce qui est du reste du programme, le quadruple champion olympique a laissé entendre qu’il pourrait nager deux courses de relais d’ici la fin des Mondiaux.
La première serait le 4×200 mètres nage libre, dont les séries sont prévues tôt dans la matinée du 1er août. Le nageur ne participerait qu’à la finale, sous condition d’une qualification du relais tricolore. Pour terminer, Léon Marchand a laissé entendre qu’il pourrait participer au 4×100 mètres 4 nages le dernier jour, soit en même temps que le 400 mètres 4 nages. Une configuration qui ne devrait pas gêner le nageur, qui avait remporté deux titres olympiques le même jour lors des JO de Paris, à deux heures d’intervalle, il y a un an jour pour jour.