Un mois après la présentation de sa tête de liste, Jean-Philippe Labarre et de sa numéro 2, Brigitte Lamouri, l’association citoyenne Nouveau Montauban a dévoilé une vingtaine de colistiers, ce vendredi 19 décembre 2025. Il faudra attendre le 15 janvier 2026 pour que l’équipe au complet soit dévoilée.
Ce vendredi soir 19 décembre 2025 à l’hippodrome, la liste “Nouveau Montauban, le parti des Montalbanais” réunissait plus d’une centaine de ses sympathisants et adhérents. L’occasion pour le duo de tête, Jean-Philippe Labarre et Brigitte Lamouri, de rappeler les principes fondateurs du mouvement, et de présenter une vingtaine de colistiers dans l’optique des élections municipales de mars 2026 à Montauban (Tarn-et-Garonne).
“Nous sommes des citoyens ayant pour objectif de bâtir un projet de ville, en dehors des combinaisons politiciennes donc des partis, en totale indépendance, et dans le dialogue” campe le dynamique candidat. “L’adhésion qui se fait jour autour de nous témoigne d’une attente forte des Montalbanais de ne pas voir dans notre ville le triste spectacle donné au plan national. Et qui malheureusement transpire jusque chez nous, pour preuve les facéties des conseils municipaux et communautaires de cette semaine, et les manœuvres de tous ces partis qui, sur le dos des électeurs, s’entendent déjà dans le seul but de défendre des intérêts personnels, politiciens, ou pire encore ! De tout cela nous ne voulons pas. Ce n’est donc pas un hasard si nous comptons déjà beaucoup de candidatures pour participer à notre aventure.”
En attendant le jeudi 15 janvier 2026 (à 19 heures, salle de Carreyrat) pour la présentation de la liste complète aux Montalbanais, Jean-Philippe Labarre (cardiologue) et Brigitte Lamouri (ex-déléguée aux droits des femmes) ont présenté les profils d’une vingtaine de leurs colistiers.
Les colistiers présentés ce vendredi soir
– Frédérique Mirallez (54 ans / directrice financière et administrative décentralisée)
– Valentin Barrau (49 ans / cadre dans un établissement médico-légal / président d’associations)
– Camille Hodouin (37 ans / instructeur au service départemental de protection maternelle et infantile)
– Manu Marco (29 ans / chargé de mission entreprises et implantation)
– Magalie Fernando (43 ans / cheffe d’entreprise)
– Nuno Pires (45 ans / masseur – kinésithérapeute – ostéopathe)
– Thérèse Dessaux (65 ans / ex-déléguée médicale)
– Sébastien Mignot (38 ans / chargé de communication)
– Sylvie Amouroux (64 ans / ex-enseignante)
– Jamel El Lebed (36 ans / ingénieur, directeur de projets informatiques)
– Christelle Fabre (54 ans / directrice santé et sécurité en collectivité)
– Jean-Jacques Boyer (68 ans / ex-responsable commercial / président d’association)
– Catherine Pienkowski (67 ans / pédiatre endocrinologie)
– Youssef Magaz (27 ans / chef de secteur)
– Thierry Faget (59 ans / vétérinaire)
– Stéphanie Siméon (58 ans / enseignante juriste)
– Jean-François Disaud (66 ans / ex-assistant médico-social)
– Léa Basset (32 ans / professeur des écoles)
Une charte d’engagement
” Nous présentons aujourd’hui une vingtaine de colistiers sur un nombre très important de candidats à notre liste, quand par ailleurs nos portes demeurent encore ouvertes à qui souhaiterait nous rejoindre, dans la limite du possible…” a précisé Jean-Philippe Labarre. “Tous ont signé une charte d’engagement, s’interdisant toutes considérations politiciennes, chacun restant libre de ses idées ou engagements par ailleurs” glisse le cardiologue, désigné tête de liste le 20 novembre dernier.
“Notre charte prévoit aussi que le programme qui sera délivré intégrera l’écoute des administrés, le principe de faisabilité financière, comme le souci d’une obligatoire rigueur dans l’emploi de l’argent public” précise Brigitte Lamouri. “On donnera surtout les moyens au personnel municipal, pour le mieux-être quotidien du citoyen contribuable”, ajoute Jean-Philippe Labarre.
Et Valentin Barrau de conclure : “L’intégrité est aussi un sujet majeur et non négociable pour nous. Nouveau Montauban aura pour exigence pour ses élus la probité absolue, la transparence sur la gestion, le respect de la dignité de la fonction et la tolérance zéro en matière de condamnation judiciaire.”