La Briquole, nouvelle douceur toulousaine, s’apprête à conquérir les palais. Fruit de deux ans de travail, elle allie tradition et modernité avec son cœur citronné et son enrobage rouge. Disponible dès janvier, elle promet de devenir la gourmandise iconique de la Ville rose.
Comme Bordeaux a son cannelé et Aix, son calisson, Toulouse pourra bien compter sur sa Briquole. Cette nouvelle gourmandise toulousaine est le fruit de deux ans de travail et de la rencontre entre trois personnalités complémentaires : la cake designer Céline Marciano, Xavier Nizard et Fabian Trapani. Leur ambition était simple : offrir enfin à la Ville rose une douceur identifiable, moderne, et enracinée dans son patrimoine.
L’idée trouve son origine sept ans plus tôt, lorsque Xavier Nizard imagine “Le Briquetier”, un concept de petites briques-souvenirs fabriquées, à Grépiac, en Occitanie. Ces magnets numérotés mettaient à l’honneur l’architecture et la couleur si particulière de Toulouse. De ce clin d’œil patrimonial naît alors une intuition : si l’on offrait la possibilité de croquer littéralement la brique toulousaine ? Le passage de l’objet décoratif à la gourmandise devenait une évidence.
Craquant à l’extérieur, moelleux à l’intérieur
C’est là que Céline Marciano entre en scène. En s’appuyant sur l’histoire racontée par Xavier, elle façonne une gourmandise unique, simple à transporter, facile à partager et évoquant un goût d’enfance. Le travail est minutieux : deux années d’essais, d’ajustements et de recherches pour atteindre l’équilibre parfait entre un enrobage craquant et un cœur moelleux. À l’intérieur, un gâteau citronné, évocateur du Sud, apporte fraîcheur et rondeur. À l’extérieur, une coque aux teintes rouges issues d’ingrédients naturels comme la pomme ou le cassis, qui craque sous la dent, renvoie à la couleur emblématique des façades toulousaines.
“Ce n’est ni un gâteau, ni une confiserie, ni un chocolat”, insiste Céline. La Briquole se veut une gourmandise à part entière, dotée d’une identité forte. Son format n’est pas le fruit du hasard : elle reprend les proportions exactes de la brique toulousaine traditionnelle, simplement miniaturisée pour tenir dans la main, dans une boîte… ou dans une valise cabine. Une petite brique que l’on mange comme un macaron, mais qui raconte une histoire bien plus large, celle de la Ville rose.
Local, gourmand et accessible
Si Fabian Trapani va gérer la partie financière, la production de la Briquole sera confiée à une chocolaterie toulousaine de référence, garante d’un savoir-faire artisanal irréprochable. Elle sera disponible au grand public à partir de janvier, dans des lieux emblématiques de Toulouse et sur un site internet. Elle sera vendue à l’unité ou en coffret de quatre, accompagné d’une carte racontant une anecdote sur la ville.
Quant au nom, “Briquole” avec un Q, il s’est imposé naturellement : clin d’œil à la brique, bien sûr, mais aussi à l’expression toulousaine “manger une bricole”. Une trouvaille qui résume parfaitement l’esprit du projet : local, gourmand, accessible. Toulouse se dote enfin de sa propre douceur iconique, prête à voyager dans le monde entier… et à devenir, peut-être, incontournable.