Martin Parr lors de son exposition « Only Human : Photographs » à la National Portrait Gallery de Londres, le 6 mars 2019. TOLGA AKMEN / AFP
Une photo « à la Martin Parr ». Le qualificatif est presque entré dans le dictionnaire. On imagine le cliché les yeux fermés : les couleurs éclatantes, l’humour anglais (forcément), un brin de mauvais goût, le regard critique posé sur nos modes de vie de consommateurs/touristes/badauds/sujets de la monarchie britannique (rayez la mention inutile). Le photographe anglais a développé un style personnel souvent imité, combinant la critique pince-sans-rire à l’usage immodéré du flash et du gros plan pour mieux souligner les travers de nos sociétés.
En chaussettes-sandales, Martin Parr a arpenté tous les continents. Il photographiait la planète telle qu’elle tourne de travers, pour le meilleur et pour le pire. Le Jeu de Paume à Paris consacrera à la fin du mois de janvier 2026 une rétrospective à ce grand nom de l’agence Magnum intitulée « Glob…
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