Emmanuel Meafou et Pita Ahki se sont livrés, il y a quelques mois, à une partie de pêche sur la Garonne à Toulouse et ont même sorti des silures. Le deuxième ligne toulousain est revenu sur cette sortie.
Pour s’évader et penser à autre chose qu’au rugby, chaque joueur a son passe-temps. À Toulouse, ils sont nombreux à jouer au golf par exemple. Mais Pita Ahki et Emmanuel Meafou, eux, ont testé autre chose. Et c’est pour le moins étonnant. Les deux joueurs du Stade Toulousain, amis en dehors du terrain, se sont adonnés il y a quelques mois à une partie de pêche sur la Garonne, à quelques mètres du Pont Neuf.
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Et lorsque l’on demande à Emmanuel Meafou s’il y a beaucoup de poissons dans la rivière qui traverse la Ville rose, ce dernier explose de rire. “Je ne sais pas s’il y en a beaucoup, mais il y a de grands poissons. Il y a des silures”, s’amuse le colosse de 2,03m qui est actuellement retenu avec l’équipe de France.
Sur une vidéo publiée sur Instagram, on y voit en effet le deuxième ligne sortir, en toute décontraction, un gros silure avec l’Hôtel-Dieu en arrière-plan. Meafou a remis ensuite le poisson dans l’eau, après avoir réussi à le soulever et l’amener sur la barque. Il a été imité quelques instants plus tard par Pita Ahki.
Et Meafou en a profité pour développer son amour pour les activités en plein air… “Sauf la randonnée”, prévient-il en souriant. “En fait, moi j’adore les activités à l’extérieur. Le camping, par exemple. Je n’en fais pas beaucoup. Je n’en fais pas tout le temps, mais quand j’ai la chance de pouvoir en faire, ça me plaît beaucoup. La pêche, pareil. Être à la montagne ou à la mer, avec tes amis, avec la famille. Je trouve que c’est un truc cool.”
Il continue en expliquant pourquoi cette partie de pêche avec Pita Ahki lui a fait du bien : “Ça change un peu parce qu’à chaque fois, on est au stade. On s’entraîne la semaine et le week-end, on a des matchs. Pour notre jour off, on veut être avec notre famille et se reposer. Mais quand on peut, je pense que c’est cool de changer un peu notre routine, pour le mental aussi. Parce qu’en général, on pense toujours au rugby. Quand on joue, on joue. Quand on ne joue pas, on fait de la récup’. Mais il faut trouver le moyen de faire d’autres choses que le rugby.” Meafou va cependant devoir trouver un nouveau compagnon de pêche, Pita Ahki et sa famille vont quitter Toulouse au début du mois de décembre.