Une étudiante palestinienne de 17 ans originaire de Khan Younès (Gaza), poursuit ses études dans une tente installée par sa famille sur les ruines de leur maison. ABDALLAH ALATTAR APAIMAG/SIPA
Partir étudier à l’étranger, un enrichissement personnel pour les uns, une question de vie ou de mort pour les étudiants originaires de Gaza. Alors que la situation humanitaire devient insoutenable, des jeunes habitants de l’enclave – privés de leur droit à l’éducation – tentent leur chance en candidatant dans des établissements d’enseignement supérieur.
Mais les difficultés contrevenant à l’accueil des étudiants gazaouis sont nombreuses, d’autant que l’évacuation de Palestiniens vers la France vient d’être gelée, a annoncé ce vendredi 1ᵉʳ août, Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères. Une décision qui amenuise l’espoir des nombreux jeunes encore bloqués à Gaza, et qui ne sera pas levée avant les conclusions d’une enquête concernant une étudiante palestinienne à qui sont attribués des…

Article réservé aux abonnés.
Se connecter
Offre d’été :
1€/mois pendant 6 mois
S’abonner
Découvrir toutes nos offres