De gauche à droite et de haut en bas : Erika, la femme de Kirk ; Karoline Leavitt, la porte-parole de la Maison-Blanche ; Melissa Rein Lively, fondatrice d’America First ; Pam Bondi, ministre de la Justice ; La première dame des Etats-Unis, Melania Trump, à la Maison-Blanche. CHARLY TRIBALLEAU/AFP – KEVIN DIETSCH/GETTY IMAGES VIA AFP – DOMINIC VALENTE/THE WASHINGTON POST VIA GETTY IMAGES – ANDREW HARNIK/GETTY IMAGES VIA AFP – ALEX BRANDON/AFP
A croire qu’elles ont été clonées à l’infini. Elles font résonner leurs talons aiguilles comme dans un défilé de mode au sommet de l’administration américaine, à la tête d’organisations conservatrices, sur Fox News et jusque dans la salle de conférence de presse de la Maison-Blanche. La femme idéale de l’imagerie trumpiste a colonisé le paysage politique depuis le retour du président. Elle a le physique d’une poupée Barbie maquillée à outrance, est hypersexualisée, adepte du lifting, des injections de Botox et des facettes dentaires, le nez et les pommettes redessinés au scalpel, les lèvres pulpeuses, les traits figés et les cheveux longs ondulant artificiellement sur les épaules.
Kristi Noem, secrétaire à la Sécurité intérieure, Pam Bondi, ministre de la Justice, Lara Trump, belle-fille du président et animatrice sur Fox News, Karoline Leavitt, porte-parole de la Maison-Blanche, Kimberly Guilfoyle, ambassadrice et ex-fiancée d’un fils Trump, Amber Hulse, sénatrice du Dakota …
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