Un membre des forces de sécurité des nouvelles autorités syriennes lors de l’inspection d’un laboratoire de fabrication de pilules de captagon en périphérie de Damas, le 7 janvier 2025, un mois après la chute du régime de Bachar el-Assad. MOSA’AB ELSHAMY/AP/SIPA
Depuis la chute de Bachar al-Assad, les nouvelles autorités syriennes ont réalisé d’importantes saisies. Mais le trafic de captagon, un stimulant proche de l’amphétamine qui constituait le pilier économique de l’ancien régime renversé le 8 décembre 2024, perdure à une moindre échelle. Et on mesure à peine la façon dont cette drogue bon marché est consommée.
Entretien avec Caroline Rose, qui dirige un programme de recherche sur le trafic de captagon au New Lines Institute, un groupe de réflexion apolitique basé à Washington.
La chute de Bachar al-Assad, il y a un an, a marqué la fin d’une des dictatures les plus sanguinaires de l’histoire contemporaine e…
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