Malgré le bonheur d’évoluer chez la Scuderia, le septuple champion du monde britannique (40 ans) vit une saison très difficile en raison des performances de sa monoplace, encore décevante à Sao Paulo ce dimanche.
Son transfert à 60 millions de livres Sterling avait suscité les espoirs les plus fous parmi les tifosi de la Scuderia, il est en train de virer au “cauchemar” comme il l’a lui même indiqué, après avoir été contraint à l’abandon lors du Grand Prix du Brésil, ce dimanche 9 novembre, à l’occasion de la 21e des 24 manches du championnat du monde.
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Une course au cours de laquelle le septuple champion du monde britannique a connu de nombreux déboires, se retrouvant contraint de rentrer au garage prématurément, au 38e tour, sur problème mécanique, après avoir eu un contact avec Carlos Sainz (Williams) dès le premier tour, puis un autre avec Franco Colapinto (Alpine) lors d’une manœuvre lui valant cinq secondes de pénalités et le retrait d’un point sur sa licence.
L’après-midi cauchemardesque de Hamilton a commencé dès le premier tour, avec un contact contre la Williams de Carlos Sainz – sans qu’aucun des deux pilotes ne soit jugé responsable – avant qu’il ne percute Colapinto. Cette manœuvre lui a valu une pénalité de cinq secondes ainsi qu’un point de pénalité sur sa licence, les commissaires le tenant entièrement responsable de l’incident.
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“Nous n’abandonnerons pas”
“C’est un cauchemar, a-t-il déclaré. Je vis ça depuis un certain temps. L’alternance entre le rêve de piloter pour cette équipe incroyable et le cauchemar des résultats que nous obtenons est un vrai défi. S’il avoue que “ça a été désastreux et décevant pour tout le monde dans l’équipe”, il ne semble pas vouloir baisser les bras, essayant “de garder la tête hors de l’eau et de rester positif”.
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“Peut-être que nous écoulons toute notre malchance cette année. Qui sait ? Nous n’abandonnerons pas et nous reviendrons nous battre lors de la prochaine course”, a promis celui qui pointe au sixième rang du classement des pilotes (148 points), à 66 longueurs de son coéquipier monégasque Charles Leclerc, cinquième.