Le joueur, ancien finaliste de Roland-Garros, a été sanctionné par les autorités. Par la voix de son avocat, il a apporté quelques explications.
La double dégringolade du champion. Alors qu’il traverse la pire saison de sa carrière (chuté au 34e rang mondial), le Grec Stefanos Tsitsipas, star mondiale du tennis, se retrouve au cœur d’une péripétie routière. Sa luxueuse Lotus a été flashée à 210 km/h sur l’Attiki Odos, une autoroute pourtant limitée à 120 km/h à Athènes.
L’excès de vitesse, capté par un nouveau système de caméras à intelligence artificielle, a immédiatement entraîné une lourde sentence : 2 000 euros d’amende et surtout, un an de suspension de permis. Ce dérapage est le parfait parallèle de sa saison 2025 morose : le joueur n’a gagné aucun titre et n’a pas atteint un seul huitième de finale en Grand Chelem.
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La défense et le “cas géré”
Cependant, le clan Tsitsipas, habitué à gérer les affaires médiatiques, a immédiatement tenté d’éteindre l’incendie. Par la voix de son avocat, Thanasis Papathanasiou, le champion se défend de toute responsabilité au volant.
“Il ne conduisait pas, il était passager. Il avait prêté sa voiture à quelqu’un d’autre, comme ça arrive souvent”, a affirmé son entourage, refusant de dévoiler l’identité du conducteur.
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L’avocat s’est même montré confiant, affirmant que le cas de l’amende et de la suspension de permis avait été “géré”, suggérant que Tsitsipas devrait échapper aux sanctions initiales.
Ce n’est pas la première fois que le joueur fait parler de sa conduite : en 2024, il avait déjà été critiqué après avoir posté une photo sur son compte Instagram où il affichait une vitesse de 275 km/h.