La passion de Serge Lama pour Nana Mouskouri a failli bouleverser sa vie amoureuse. En 1979, il envisage de quitter Sophia Loren pour l’artiste grecque. Pourtant, il choisit finalement de rester avec sa femme Michèle.
Dans un entretien accordé à Paris-Match, Serge Lama revient sur un épisode marquant de sa vie sentimentale : sa passion pour Nana Mouskouri, au point d’avoir envisagé de quitter Sophia Loren pour elle.
Le chanteur se souvient avoir été bouleversé dès sa première rencontre avec l’artiste grecque, le 26 octobre 1967. “Dès qu’elle s’est mise à chanter, tout le monde fut sous le charme Et pour moi, ce fut plus que cela : un choc émotionnel […]”, confie-t-il.
Les années passent, mais Serge Lama ne parvient pas à se détacher de ce sentiment. En 1979, alors qu’il vit une idylle avec l’actrice italienne Sophia Loren, il tente une ultime approche auprès de Nana Mouskouri. “Serge m’a proposé de faire la une de Paris Match avec lui. Il m’a dit : Sinon, je la ferai avec Sophia. Là je me suis vraiment demandé si ça ne pouvait pas devenir une plus grande histoire entre lui et moi”, confesse l’artiste elle aussi interviewée par Paris-Match.
Fou amoureux de Nana Mouskouri, Serge Lama confie dans Paris Match avoir été sur le point de quitter l’actrice italienne Sophia Loren pour les beaux yeux de la chanteuse grecque. https://t.co/Dg5MulJH3w
— Paris Match (@ParisMatch) November 13, 2025
“Je ne pouvais pas abandonner ma femme”
Finalement, c’est avec Loren qu’il apparaît en couverture du magazine. Une relation intense mais impossible à faire durer : “[…] Elle voulait que je fasse carrière aux États-Unis, mais je ne pouvais pas abandonner Michèle, ma femme, que j’aimais profondément.”
À lire aussi :
Nana Mouskouri révèle avoir lutté contre le cancer : “J’ai suivi une chimiothérapie qui a duré 8 mois”
Aujourd’hui, Serge Lama admet volontiers avoir été “un vrai coureur”. Nana Mouskouri, quant à elle, prend plus de recul : ” […] je n’ai jamais dit que je ne voulais pas sortir avec toi à cette époque, lui répond-elle. C’est juste que ma vie était très compliquée.”