December 18, 2025

Top 14 : quel est le poste le mieux payé et quelles sont les équipes qui dépensent le plus de salary cap ?

l’essentiel
Dans un rapport annuel révélé ce mercredi 17 décembre, on apprend quels sont les postes les mieux rémunérés en Top 14, mais aussi quels sont les clubs les plus dépensiers en termes de masse salariale.

Dans son rapport annuel sur le salary cap en Top 14 publié ce mercredi 17 décembre, le cabinet d’audit Nexia S & A révèle la rémunération moyenne des joueurs en fonction de leur poste. Pour la saison 2024-25 du championnat français, ce sont les demis d’ouverture qui sont les mieux lotis, à la différence de la saison précédente où les deuxième ligne évoluant en 5 étaient les plus rémunérés.

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Les ouvreurs du Top 14 perçoivent en moyenne 343 000 € par an, contre 302 000 € annuels pour les numéros 5, qui occupent la seconde place cette année. Viennent ensuite les numéros 8 et leurs 296 000 € à l’année puis les numéros 5 avec 290 000 € de salaire annuel. Les centres (274 000 €/an) complètent le Top 5 devant les demis de mêlée (261 000 €/an). Ce sont les ailiers qui sont les moins bien payés dans la première division française avec un revenu moyen à 223 000 €/an.

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Concernant l’utilisation du salary cap, fixé à 10,7 millions d’euros par la LNR pour la saison 2024-25, Vannes est bon dernier avec seulement 56,5 % de salary cap dépensé. Perpignan (73 %), Bayonne (88,9 %) et Castres (89,5 %) sont les seuls autres clubs sous la barre des 95 % d’utilisation. La Rochelle (99,5 %) est le club qui utilise la plus grande part de son salary cap (qui n’inclut pas les crédits pour les joueurs internationaux) devant l’UBB (99,3 %) et le Racing 92 (99,3 %). Il y a néanmoins une réduction des écarts au sein du Top 14 entre la saison 2018-19 et celle qui s’est conclue cet été avec une baisse de la rémunération moyenne des 3 plus grosses masses salariales (de 11,9 millions d’euros à 11,5 millions) et une explosion de celle des 3 les plus faibles, qui sont passées de 4,6 millions à 7,3 millions en moyenne.

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