Cristiano Ronaldo, aujourd’hui exilé en Arabie Saoudite où il évolue dans le club d’Al-Nasr, a accordé une interview publiée ce mardi 4 novembre. Il se livre notamment sur son rapport à l’argent et dévoile le montant de sa fortune.
Cristiano Ronaldo n’est pas encore retraité du football professionnel, mais il se vit déjà comme un entrepreneur. Il s’est confié sur ses investissements, ses différents gains en carrière et sa fortune dans une interview accordée au journaliste britannique Piers Morgan ce mardi 4 novembre.
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“Je suis milliardaire depuis plusieurs années. Devenir milliardaire faisait partie de mes objectifs principaux. Je suis le seul milliardaire dans le football, les chiffres ne mentent pas”, a-t-il affirmé avec tout l’aplomb qu’on lui connaît. “Ma fortune n’est pas le fruit du hasard. Ma carrière a toujours été pensée et maîtrisée. Chaque décision a servi à bâtir mon empire”, explique le Portugais.
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La star, devenue ambassadeur en allant jouer en Arabie Saoudite, perçoit plus de 200 millions par an pour jouer pour le club d’Al-Nasr selon les termes du contrat qu’il a signé cet été. C’est le plus gros contrat jamais signé par un footballeur. Pourtant, il assure ne plus être attaché à la possession matérielle : “Je ne veux plus d’achats matériels. Je veux juste être heureux.”
Il raconte pourtant dans la même interview qu’il n’a pas gardé le compte du nombre de ses biens de luxe. “Je ne compte plus les voitures. Je le jure sur mes enfants, je ne sais pas vraiment combien j’en ai”, jure Ronaldo. Il dévoile également son plus gros achat : “Je viens de changer d’avion.”
“L’argent te donne la possibilité d’avoir des choses matérielles, c’est quelque chose de bien, mais aujourd’hui je m’en fiche. Je n’ai plus cette passion pour les voitures. J’ai acheté un avion parce que je ne suis pas quelqu’un de classique, je ne peux pas passer par les aéroports”, détaille l’ancien joueur du Real Madrid. Ces déclarations ne risquent pas de le rendre sympathique aux yeux de détracteurs qui sont prompts à lui faire des procès en déconnexion et le trouvent prétentieux.