Créé par deux Gourdonnais, Camille et Clément Combes, le média participatif “Mamou” lutte contre l’isolement des personnes âgées en leur donnant la parole. Objectif : valoriser leur histoire et encourager le dialogue entre générations.
À l’origine de “Mamou”, il y a une idée simple : permettre aux personnes âgées de retrouver une place centrale dans la société. Ce média participatif, imaginé par Camille et Clément Combes, frère et sœur originaires du Sud-Ouest, s’est donné pour mission de recréer du lien entre les générations grâce au partage de témoignages.
“J’ai toujours eu ce besoin de faire quelque chose qui ait du sens et d’agir pour des causes qui me touchent”, explique Camille Combes. Son expérience professionnelle en Ehpad a confirmé un constat déjà présent depuis ses études : “Certaines personnes sont isolées et n’ont plus vraiment de place dans la société.”
C’est en partageant cette réflexion avec son frère que l’idée du projet s’est concrétisée. “Lorsque Camille m’a parlé de son envie de faire changer les choses, la lutte contre l’isolement des personnes âgées s’est imposée naturellement. Cette idée ne nous a plus jamais quittés”, raconte Clément Combes.
“Mettre le virtuel au service du réel”
Leur objectif est clair : rompre l’isolement des seniors tout en valorisant leur héritage. “Nous voulons mettre le virtuel au service du réel, et créer du lien à travers le partage des histoires et de la mémoire de nos aînés”, résume Camille.
Concrètement, “Mamou” se présente comme un média social participatif. “Un média social et un média ascendant, où chacun peut interagir, commenter, créer et partager du contenu”, précise-t-elle. L’ambition du projet est d’en faire un espace collectif, “communautaire et participatif”, où les récits des aînés deviennent des passerelles entre générations.
“J’ai toujours eu ce besoin de faire quelque chose qui ait du sens et d’agir pour des causes qui me touchent”, explique Camille Combes. Son expérience professionnelle en EHPAD a confirmé un constat déjà présent depuis ses études : “Certaines personnes sont isolées et n’ont plus vraiment de place dans la société.”
C’est en partageant cette réflexion avec son frère que l’idée du projet s’est concrétisée. “Lorsque Camille m’a parlé de son envie de faire changer les choses, la lutte contre l’isolement des personnes âgées s’est imposée naturellement. Cette idée ne nous a plus jamais quittés”, raconte Clément Combes.
Leur objectif est clair : rompre l’isolement des seniors tout en valorisant leur héritage. “Nous voulons mettre le virtuel au service du réel, et créer du lien à travers le partage des histoires et de la mémoire de nos aînés”, résume Camille.
Concrètement, “Mamou” se présente comme un média social participatif. “Un média social est un média ascendant, où chacun peut interagir, commenter, créer et partager du contenu”, précise-t-elle. L’ambition du projet est d’en faire un espace collectif, “communautaire et participatif”, où les récits des aînés deviennent des passerelles entre générations.
Le nom du média, “Mamou”, s’est imposé comme une évidence. “C’est le surnom que beaucoup d’enfants donnent à leur grand-mère, comme cela a été notre cas”, explique Clément. Un choix affectif et symbolique du lien familial et de la transmission qui anime le projet.
Dès ses débuts, “Mamou” a rencontré un large écho. En quelques mois, les vidéos diffusées sur les réseaux sociaux ont cumulé des centaines de milliers de vues. “Au-delà des chiffres, ce sont les réactions humaines qui nous ont le plus touchés”, souligne Camille. Les témoignages ont suscité de nombreux messages adressés directement aux personnes âgées, parfois compilés dans des livrets imprimés remis à leurs auteurs.
“Nous avons été touchés par l’émotion et la fierté ressenties lors de la remise de ces livrets”, ajoute Clément. Ces retours positifs ont renforcé la motivation du duo, convaincu que leur initiative répond à un besoin réel de lien social.
Aujourd’hui, les fondateurs souhaitent aller plus loin. Leur ambition : faire de “Mamou” un projet collectif, ouvert à tous ceux qui souhaitent contribuer. “Si cet article éveille votre curiosité, il existe mille façons d’y participer : suivre le média, écrire à une personne âgée ou recueillir le témoignage d’un proche”, explique Clément.
En plaçant la parole des aînés au cœur du dialogue intergénérationnel, “Mamou” illustre une idée forte : dans une société connectée, le numérique peut aussi être un outil au service de la mémoire et du lien humain.
Le nom du média, “Mamou”, s’est imposé comme une évidence. “C’est le surnom que beaucoup d’enfants donnent à leur grand-mère, comme cela a été notre cas”, explique Clément. Un choix affectif et symbolique du lien familial et de la transmission qui anime le projet. Dès ses débuts, “Mamou” a rencontré un large écho. En quelques mois, les vidéos diffusées sur les réseaux sociaux ont cumulé des centaines de milliers de vues. “Au-delà des chiffres, ce sont les réactions humaines qui nous ont le plus touchés”, souligne Camille. Les témoignages ont suscité de nombreux messages adressés directement aux personnes âgées, parfois compilés dans des livrets imprimés remis à leurs auteurs.
“Nous avons été touchés par l’émotion et la fierté ressenties lors de la remise de ces livrets”, ajoute Clément. Ces retours positifs ont renforcé la motivation du duo, convaincu que leur initiative répond à un besoin réel de lien social. Aujourd’hui, les fondateurs souhaitent aller plus loin. Leur ambition : faire de “Mamou” un projet collectif, ouvert à tous ceux qui souhaitent contribuer. “Il existe mille façons d’y participer : suivre le média, écrire à une personne âgée ou recueillir le témoignage d’un proche”, précise Clément.