Pendant que la planète tech est obnubilée par la course mondiale à l’intelligence artificielle (IA), une acquisition passée un peu inaperçue est susceptible de renforcer considérablement la main d’Elon Musk dans son rapport de force avec les gouvernements nationaux de la planète… Et même d’ouvrir un nouveau et inquiétant chapitre dans la perte de pouvoir progressive des Etats face aux champions de la tech. Musk n’est pas seulement un visionnaire de la mobilité électrique (Tesla) ou de l’industrie spatiale (SpaceX), un transhumaniste qui rêve d’implanter des puces dans nos crânes (Neuralink), un idéologue qui utilise son réseau social (X) et son IA (Grok) pour mener une violente croisade antiprogressiste, ou le néopoliticien qui, à la suite de sa rupture avec Donald Trump, a créé son propre Parti de l’Amérique.
Le serial entrepreneur est aussi le propriétaire de la constellation de satellites de communication Starlink. Musk in the sky with diamonds : son réseau dans les étoiles a déjà montré – notamment sur le théâtre de guerre ukrainien – la façon dont il pouvait se substituer à une infrastructure terrest…
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