Liz Gomis, directrice la Maison des Mondes africains, dans les locaux du 10ᵉ arrondissement de Paris. MARGAUX DESLANDES/MANSA
Pour aller plus loin
Des baies vitrées, de hauts plafonds, des volumes baignés de lumière : à première vue, la Maison des Mondes africains (MansA) a tout d’un espace de coworking. Promesse présidentielle faite en 2021, lors du Sommet Afrique-France à Montpellier, cette institution politico-culturelle a posé ses valises provisoirement, en mars, dans un ancien atelier de confection au cœur du quartier populaire et gentrifié du 10e arrondissement de Paris, près de République, et va ouvrir le 3 octobre. Au programme : expositions, espaces musicaux, performances, incubateur, ateliers dédiés aux arts africains… « Avec nos 800 mètres carrés, on va tout arracher », souffle la maîtresse des lieux Liz Gomis.
Ce projet, la journaliste et réalisatrice le porte à bout de bras depuis quatre ans. Elle voit la MansA comme un « refuge » où s’exprimerait ce qu’on ne raconte pas d’habitude de l’Afrique contemporaine, où serait mise en lumière la richesse culturelle d’être un Français issu du continent africain, …
Article réservé aux abonnés.
Se connecter
Envie de lire la suite ?
Tous nos articles en intégralité dès 1€
ou
Découvrir toutes nos offres