La championne de taekwondo afghane Marzieh Hamidi à Paris, en juin 2023. JOEL SAGET/AFP
Pour aller plus loin
C’est un gymnase d’Ile-de-France où elle a ses habitudes. Marzieh Hamidi, féministe afghane et championne de taekwondo réfugiée en France depuis le retour au pouvoir des talibans à Kaboul en 2021, s’y entraîne aussi souvent que possible, dans un anonymat relatif. Ce jour-là, elle vient d’officialiser son inscription aux championnats du monde de taekwondo, prévus en Chine à la fin du mois d’octobre.
A 23 ans, l’athlète est solaire et joyeuse malgré les menaces qui pèsent sur elle. Depuis un an, elle fait face à une vague de haine pour avoir dénoncé les nouvelles restrictions imposées aux femmes afghanes. Elle vit désormais sous protection policière. Son entraîneur, qui est aussi celui de l’équi…
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