La joueuse Sophie Cunnigham, qui a récemment demandé au public d’arrêter de viser les joueuses avec des sex-toys, a elle-même été prise pour cible dans la soirée du 5 août. Elle a préféré réagir avec humour à cette scène absurde.
Un match de WNBA a été brièvement suspendu pour la 3e fois en quelques jours dans la nuit du 5 au 6 août. Lors d’un match entre les Los Angeles Sparks et les Indiana Fever (100-91), un sex-toy a été jeté sur le parquet depuis les gradins, provoquant l’interruption de la rencontre le temps de nettoyer le parquet. La joueuse visée n’est autre que Sophie Cunningham, qui avait appelé le 2 août à la fin de ce genre de comportements. Sur ses réseaux sociaux, elle a réagi avec humour à son propre message : “Ça n’a pas bien vieilli DU TOUT”.
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Choquée sur le coup, la meneuse des Indiana Fever s’est dirigée vers son banc pour évacuer ce qui ressemblait à un rire nerveux. Sur son compte Instagram, elle a préféré réagir avec humour à cette scène absurde et dangereuse : “C’est fou que ce truc m’ait touché, je savais que je n’aurais pas dû tweeter ça”, a-t-elle déclaré en référence à son tweet du 2 août dans lequel elle demandait d’arrêter “de lancer des dildos sur le court”.
La coach des Los Angeles Sparks, Lynne Roberts, n’a quant à elle pas mâché ses mots sur le comportement du spectateur, qualifiant son geste de “stupide”, “ridicule” et “idiot”. Elle a également ajouté avoir trouvé le geste “dangereux”, réitérant un principe qui devrait relever du bon sens : “La sécurité des joueuses est la priorité.”