Quelles sont les chances de médailles pour les nageurs et nageuses français au lancement de ces Mondiaux de Singapour ? La Dépêche vous fait un passage en revue après le premier jour de compétition.
Ils sont 28 Tricolores sur la ligne de départ de ces Mondiaux de Singapour, mais tous ne prétendent pas à une médaille. Derrière l’incontournable Léon Marchand, grandissime favori des courses individuelles à son programme (200 et 400 m 4 nages), c’est Maxime Grousset qui semble le mieux armé pour se parer d’or. Le Néo-Calédonien a soigné son entrée en lice en signant le meilleur temps des séries puis des demi-finales en 50 m papillon, établissant au passage un nouveau record de France (22″61).
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Détenteur de la meilleure performance mondiale de l’année, il visera également le titre sur 100 m papillon, distance sur laquelle il a obtenu son unique titre de champion du monde en grand bassin en 2023. Il sera également à la bataille pour une médaille sur 50 et 100 m nage libre. Anastasiia Kirpichnikova, médaillée individuelle aux JO de Paris (sur 1 500 mètres), tentera de récidiver face aux reines du demi-fond malgré 4 mois de vacances et un programme d’entraînement commencé tardivement. Elle a commencé sa semaine avec une élimination précoce sur 400 m.
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La représentante du sprint s’appelle Béryl Gastaldelo. Elle participe aux 50 et au 100 m nage libre dans l’espoir de décrocher une breloque. Un espoir qu’auront également les spécialistes du dos, Mary-Ambre Moluh (50 et 100) et Pauline Mahieu (100 et 200) chez les femmes, Yohann Ndoye-Brouard (100 et 200) et Mewen Tomac (100) pour les hommes, bien que cela s’annonce difficile. Les relais, et notamment le 4 x 100 m 4 nages, pourraient également rapporter une médaille.