Pour sa 21e saison lancée au début du mois de novembre, Pékin express affronte le froid polaire au Kazakhstan. Lors de l’intégration du casting, Marianne, candidate de 28 ans, a oublié (ou non) d’émettre un détail important : elle a des notions de russe, l’une des langues officielles du pays.
Diffusée sur les antennes de M6 depuis le 7 novembre 2025, Pékin Express innove pour sa 21e saison : direction le Kazakhstan. Une destination souhaitée par la chaîne, mais longtemps refusée par les équipes de l’émission. Invité de “C à vous” ce samedi 29 novembre, le présentateur Stéphane Rotenberg explique : “Pendant des années, on leur a dit non. On leur a dit : ‘Imaginez ce que c’est – 25°C’. Les larmes se mettent à geler, les pommettes se mettent à geler, les oreilles gèlent, c’est une folie. Si on veut voir les candidats rire, sourire, pleurer, il ne faut pas qu’ils soient emmitouflés. Ils ont insisté et on a tenté ce Kazakhstan en fin de saison, sinon c’était injouable”.
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Marianne, 28 ans, est l’une des aventurières de cette nouvelle saison. Néanmoins, au moment du casting elle aurait oublié de signaler à la production ses notions de russe. Lors d’un épisode de l’émission, elle confie : “Dans ma famille, on est russe du côté de mon père donc j’ai un peu des bases. Je compte bien tirer parti de tout ça”.
Un avantage sur ses concurrents devant solliciter régulièrement des autochtones pour se déplacer. La Nordiste est accusée de tricherie mais la suite de son aventure n’a pas encore été remise en question.
“On s’est fait avoir”
“Elle ne nous l’avait pas dit au casting”, a répondu Stéphane Rotenberg à Mohamed Bouhafsi sur France 5. “C’est vrai que les Français ne sont pas très doués dans les langues étrangères. Le risque qu’un candidat parle la langue locale est généralement assez faible, surtout quand ce n’est pas marqué dans son nom”, a souligné l’animateur.
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“Cette jeune fille extraordinaire parle un russe honorable, et c’est vrai qu’on aime bien plutôt déstabiliser les candidats. Bizarrement dans les pays où on parle anglais, les Français sont nuls. Dans les pays où on parle espagnol, c’est assez fascinant : au bout de quinze jours, nos candidats s’en sortent très bien. Là, au Kazakhstan, trouver une candidate qui parle russe, on s’est fait avoir ! On n’avait pas posé la question c’est vrai”, a-t-il concédé.