Contre le CO, le jeune pilier de l’USM (22 ans) enchaîne une deuxième rencontre consécutive après des débuts difficiles contre son club formateur Clermont, le week-end passé (31-84). Rendez-vous, samedi 11 octobre, à partir de 16h35, dans le cadre de la sixième journée de Top 14.
Vous êtes arrivé à l’intersaison en provenance de Lyon. Comment s’est passée votre intégration ?
Je suis rentré dans un groupe très soudé, contrairement à ce que j’avais vécu à Clermont ou à Lyon. Il est plus facile de s’intégrer à Sapiac. Les joueurs sont là pour s’entraider. C’est ce que je cherchais et ce que j’ai trouvé.
Quel style de joueur êtes-vous ?
J’aime tout simplement porter le ballon, partir en percussion. Je pense que je dois encore grandir en conquête, je sais qu’il faut que je travaille encore, si je veux vraiment aider cette équipe.
Vous avez débuté votre saison face à votre club formateur Clermont, samedi dernier. Comment vous êtes-vous senti ?
Les sensations étaient plutôt bonnes. J’ai repris avec le groupe après être sorti de l’infirmerie. C’était un beau clin d’œil pour moi de, quelque part, rentrer à la maison à Clermont et de me montrer face à mon ancienne équipe, même si tout ne s’est pas passé comme prévu au niveau collectif.
Comment jugez-vous le début de saison de votre équipe ?
Je dirai que les cinq matchs ont été compliqués pour nous, mais ils n’ont pas été décevants non plus. On perd une rencontre à Sapiac et on a fait match nul sur la deuxième réception. Il est temps, désormais, de gagner un match.
Comment faire pour encaisser moins de points lors des entames de rencontres ?
Il faut être capable de mettre de l’intensité et ne pas être spectateurs comme nous avons pu l’être à Clermont. On doit corriger cela. On attend que quelqu’un sorte une grosse action pour se mettre dans la rencontre.
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Et comment basculer après une telle claque ?
Il ne faut seulement penser au match suivant dès le lundi. C’est dur de prendre 84 points, mais si l’on veut faire quelque chose de beau ce week-end, il faut vraiment basculer dans le rendez-vous suivant.
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Ce sera votre première à Sapiac. Comment l’envisagez-vous ?
Après une défaite et un match nul, on attend la victoire qui, si elle vient, pourrait vraiment lancer notre équipe dans ce championnat. C’est notre faute si nous n’avons pas gagné face à Montpellier (22-22). On a beaucoup travaillé rugbystiquement à l’entraînement. Mentalement, c’est à chacun de se préparer pour s’envoyer sans compter. On doit trouver la confiance qui viendra de la victoire.